jeudi 24 mars 2011

RENTABILITE FATIGUE.005

« La Fatigue du Capitalisme »

Partant de l'analyse par Georges BATAILLE des dépenses improductives, Pascal ENARD reprend
dans « Rentabilité Fatigue » la distinction classique du travail productif et du travail improductif pour la sortir de l'impasse où Smith et le « Marxisme Bloqué » (cf. page 23) l'avait réduit. Pour ce faire il pose la distinction entre « Marchandises objets et Marchandises services » (cf. page 23) en illustrant ces dernières par le cas limite de la fonction de l'artiste et de ses oeuvres.

Pascal ENARD pose alors les termes d'une « économie sociale - monde » (en référence à « l'économie – monde » de BRAUDEL). C'est à dire une économie entendue comme l'intégration de l'ensemble des faits sociaux dans un « rapport marchand recentré », faisant justice même de ce qui n'a pas de prix : ce que Pascal ENARD englobe sous la notion de « Marchandises services » qui assurre une « jouissance sociale » (cf. page 24) et qui « perdure » (cf. page 23) pourtant après sa
prestation.

Face à ce qui pourrait être considéré comme « sacré », Pascal ENARD revendique non pas la gratuité mais une rémunération sociale et matérielle pour permettre à leur prestataire de se reconstituer et donc leur permettre de nous permettre de nous reconstituer :
« Rétribuer le créateur, l'aider à analyser ses travaux en lui témoignant ses sentiments à leurs contacts et fréquentations, n'éteindront pas son incertitude, mais ils assurreront sa subsistance. » (cf. page 7 – 8)

Dans la problématique de la reconstitution il est évident que le repos (actif ou complet) est nécessaire. D'où vient alors que Pascal ENARD titre une de ses sous parties « Le repos est improductif » (cf. page 22) ? Contre pied nécessaire qui répond à l'argumentation du « Droit à la paresse » de LAFARGUE ! Pour Lafargue, le progrès technique permettrait à terme de ne plus travailler en remplaçant l'homme par la machine. Or ce n'est pas ce qu'on observe et Pascal ENARD en rend compte ou plutôt nous fait nous en rendre compte, entendez que « nous avons des comptes à rendre ».

En effet la machinisation du process de production est bien générateur de « chômage involontaire » en rendant obsolète une force de travail compétente et dont le « reclassement » est devenu impossible. De plus la théorie de la « destruction - créatrice » des processus innovateurs n'est bien qu'une vieille lanterne qui promet un avenir radieux aux déclassés par un reclassement hypothétique et mensonger : au bout du compte, nous n'observons dans cette course folle du « plagiat » que le maintient d'une armée de réserve de chômeurs renouvelée.

NB : Du « Meilleur des Mondes » selon André GORZ (extrait 1)
« D'emblée il semble que laisser s'opérer la scission mécanique (manichéiste) entre la sphère productive hyper-technicisée et automatisée et la sphère « improductive » du loisir, du « temps perdu », du hobby, de la « convivialité », etc, contribue à déshumaniser l'entreprise et la cité bureaucratique, avec, aux alentour, des petits havres, des petits paradis , protégés des exclus des deux sphères par des milices. » (cf. page 35)

NB : De la nécessité d'une pensée Rilkéenne (extrait 2)
« [...] une génération entière de génies, ça sera dur pour eux de percer.
Le coût social de la survalorisation du génie créatif rare va être cause de suicides en nombre. Consécrations du groupe unifié en tous ces points sacrificiels. Or ce qu'il faut qu'un Artaud écrive et filme aujourd'hui c'est un « Pour en finir avec le jugement » de l'Homme. » (cf. page 26)

lundi 21 mars 2011

RENTABILITE FATIGUE.004

De Pascal ENARD le 19 mars 2011 à 12h00 :

"Précisions sur ta chronique n° 2 et sur le courriel d' «''excuse''.

Le figurant c'est aussi la situation figurée de l'évènement.
La photographie réalisée par Françoise Daoudal, avec droits de reproduction accordés à ADN, qui te les octroie pour la circonstance, (ce qui n'est pas loisible pour tous nos contrats avec des plasticiens), et reproduite en frontispice de Rentabilité fatigue, figure un champ et non un bois, en bord de rivière, laquelle n'est pas visible, à droite, les arbres de berge faisant écran. Ce champ devenait marécageux au printemps, avant que «les gargoyes» ne soient assainies par un fossé drainant, déversant dans la Dronne.
Ce qui est un travail de brûlage des têtes de troncs couchés par une tempête, ressort (sur ce terrain des aïeux, paysans et meuniers depuis des générations, vendu pour pouvoir imprimer ce livre), à un rite alchimique (eau, terre, bois, feu) connotant ainsi une extension géologique et botanique,... de la compréhension du concept de figurant. C'est alors, comme le chaman et le poète, une antenne entre forces telluriques et forces astrales, captant leurs configurations tensionnelles, surdéterminantes des champs intersubjectifs. Claude LéviStrauss nous a, le plus décisivement sans doute, ouvert l'anthropologie à cette reprise des apports de Linné, Newton, Darwin... Le passage des gestes de brûlage du bois, aux négociations avec la SAFER de Poitou Charentes, à la confection d'une maquette confiée à l'imprimeur, est donc la forme matérialiste de la transsubstantiation, avec tout le caractère problématique d'un tel héritage de sacralité pour l'épistémè marxiste, imposant une critique de sa dogmatique matérialiste dialectique insensible.

Il est, dans la «maladresse» d'expression, combinant des formes de lapsus avec des erreurs de
destinataire, comme une possession, une malignité insue, malignement dévorante, car elle ne cause gêne ; qui conduit le «vouloir bien faire» en son contraire.
Qui garantit que la loyauté triomphera de cette forme contemporaine de l' énerguménation ?
La franchise du visage, elle même, fait mine, en ce semblant catastrophique.

Dans la phase nihiliste du monohumanisme, comme le plan ment sur la scène, le champ forclôt le
procès.
Le savoir-faire et le geste ouvrier sont plagiés dans l'algorithme machinique, qui maintient la séparation spectaculaire de classes sous ce masque diversif d'utilité technique.
Le lien politique entre les cumuls et les faillites économiques est déniée par l'éthique libérale, en quoi c'est une éthique perverse, du faux aveu de la réalité des faits. L'extension de la valeur redistribuable en revenus, pour l'ensemble des contributeurs mondiaux, passe par la cessation et le dépassement du plagiat, ou rente, qui est le sursalaire obtenu à empêcher la salarisation des créateurs marginalisés (confert mon « Cumuls et faillites » 1990, première partie du recueil intitulé Supplantations de jouissances, ADN, juillet 2003).

Pascal Enard Notes éparses 11 03 19 12"

jeudi 17 mars 2011

RENTABILITE FATIGUE.003

En guise de préface à « Rentabilité fatigue » une photographie de Pascal ENARD en plein travail forestier d'entretien d'un bois avec comme exergue ce bon mot : « Rite alchimique aux « Fosses Miscottes » non loin des « Gargoyes » » en référence à l'un des premiers ouvrages de Pascal ENARD (cf. « Les Fosses Miscottes ») : comme en un déguisement carnavalesque et burlesque d'un labeur somme toute commun. C'est peut être que « Au moment [que le figurant] se figure son lien à tel autre, cette figuration même se cristallise, de cette paradoxale façon que le réel pulsionnel, l'affect, de son empathie se dépathise et nous le dépayse. » (cf. Pascal ENARD, 11 03 07 19). C'est aussi une pointe d'humour créatrice et salvatrice qui, en détournant l'objet ou le sujet de sa fonction première (à la manière de Duchamps), déstabilise le spectateur-voyeur, lui en donne pour son argent et plus, si bien que dès la première page ce décalage met le lecteur en porte à faux, en situation fragile et sensible face au propos qui l'attend.

En guise d'introduction, quatre parties pénétrantes sur les spécificités de la société capitaliste contemporaine et les éléments humains, sociaux et politiques qui la constituent. Au coeur des contradictions internes du capitalisme contemporain se trouve la question de la création (artistique, technicienne ...) et de son plagiat : « [...] un nouveau cannibalisme de classe. » (Rentabilité Fatigue, page 7).
Entendons nous bien, du temps de Marx la force de travail prolétarienne était spoliée de sa plus value par la sous évaluation de sa rétribution (« [...] surtravail classique[...] » ; cf. Rentabilité Fatigue, page 7). De nos jours la création de richesse par la force de travail est non seulement spoliée mais de plus l'inventivité « ouvrière » déployée par le travailleur est « plagiée » : c'est à dire que le travailleur en vient à devenir dépossédé même de ses process de production (le tour de main, le savoir faire spécifique ...) lui interdisant désormais toute source de revenu par son travail car dépossédé de sa fonction.
Pour l'illustrer par un exemple concret replongez vous dans la lecture de « L'Etabli » de Robert LINHART : je crois me souvenir que dans l'atelier de l'usine, un des collègues de travail de Linhart développe son propre outil de production pour lui permettre de travailler plus efficacement. Or cette inventivité est très rapidement mise à bas par les ingénieurs de l'usine qui, donnant suite aux consignes de rationalisation par la direction, harmonisent tous les outils de travail de l'atelier et mettent au placard l'invention de l'ouvrier ; car elle ne rentre pas dans les nouvelles normes de production. La création est ainsi déniée, plagiée et spoliée au nom de l'efficacité supérieure de l'organisation qui est pourtant sous optimale.
Mais ne demeurons pas cloisonné dans les représentations « ouvriéristes » du « prolétariat » : ce n'est pas seulement à l'usine que la lutte des classes fleuri! L'originalité de Pascal ENARD réside entre autre dans le dépassement des catégories bien établies (catégories socio professionnelles ...) et dans le dépassement d'une vision moniste de l'individu, pour s'intéresser à ses contradictions internes : le « figurant ». Ainsi Pascal ENARD accorde une large place au créateur artistique, à l'intellectuel, au chercheur, dans sa lecture sociale contemporaine.
Dans cette lecture renouvelée du capitalisme Pascal ENARD ne manque pas d'égratigner au passage ce qu'il nomme le « social maximalisme » en plus des figures traditionnelles de la « social médiocratie », du « petit bourgeois » ... En effet n'oublions pas que tous nous figurons et participons de la société et à ce titre y collaborons et aidons à sa « reproduction ». Toutefois il ne s'agit jamais de dénoncer un individu ou groupe d'individu particulier mais, avant tout, les « figures », les masques que nous empruntons tour à tour dans notre relation au monde.

lundi 14 mars 2011

RENTABILITE FATIGUE.002

A signaler : la présentation de "Rentabilité Fatigue" de Pascal ENARD par Fabrice LAFORGE (philosophe de son état, auteur notamment de "Eclair de l'instant L'exaltante alliance des contraires", éd. Librairie Olympique et Association Tempo Philo, novembre 2009), mercredi 4 mai 2011 à partir de 18H30 à "La Machine à Lire" (excellente Librairie de Bordeaux, de France et de Navarre).




mercredi 9 mars 2011

RENTABILITE FATIGUE.001

de Pascal ENARD, le 07 mars 2011 à 19h00 :

"cher David, ta première «chronique» sur Rentabilité fatigue, a ce don très rare je l'avoue de me faire sortir de ma réserve, ce qui est tout de même mieux que de me faire ''sortir de'' mes ''gonds''. Ce n'est pas cependant, loin s'en faut, faire sortir nos publications du statut d'«armée de réserve», condition sine qua non pour la survalorisation des «têtes de gondole» du marché «littéromane». Mais voici :
Le figurant, à l'échelle anthropologique, et dans le champ littéraire, survient lorsque le roman balzacien et ses personnages se trouvent passer du récit romanesque (lui même historiquement précédé par la mythologie et l'épopée) à la fiction polylogique de Joyce, Céline, Sollers... Il est donc multimédiatique et ravale «l'étant», soit-il «existant», à la, certes très lente, «clôture du logocentrisme».
Mais le figurant ne fait pas que passer à travers des intrigues, des transferts, des traductions, d'un plateau à l'autre ; car, à se figurer, de ce style très neuf qui fut nommé polylogique, il sublime «l'agir communicationnel» en inéchange.
Pour donner schématisation de cette quatrième fonction de l'inéchange (ou communion), je commenterais brièvement le logo de l'Association Démocraties Nouvelles :
le trait continu horizontal à l'ouest figure l'usage, le trait discontinu au nord figure l'inusage, la ligne de points interrompue à l'est c'est l'inéchange, la ligne de points continue au sud, c'est l'échange.
«Jargonnons» donc, c'est dire dans mon cas, utilisons des concepts apportés par les travaux de devanciers : la comptable appréciation des valeurs d'usage, puis la marchandisation des valeurs d'échange, devenant conscientes des cadres même de leurs fantasmatiques, l'agent bourdieusien, bafoué dans l'absence de mutualité de la distribution du luxe, retrouve le sacré de la révolte ''en surplomb'' de ses habitus addictifs, lesquels sont résultantes des tensions énergétiques des champs et des stratégies de fractions de classes .
C'est parce qu'il tente d'écarter ces résultantes ( au sens imagé d'échapper aux cornes
dures des vachettes landaises), en figures de style de vie et de mort ''ouvertes'', que le
figurant enrichit la notion d'autonomie, par opposition aux hétéronomies des régimes
politiques classifiés par Montesquieu, puis par Joseph Schumpeter, ou par Samir Amin...
Aussi englobe-t-il l'enseignement lacanien du «semblant», qui est la patience du franc vis à vis du fourbe, déconstruisant son «spectacle», sa «performance» et son aplomb à ne rien devoir .
Que le travail ait été transmuté en jouissance comme étalon d'appréciation de la valeur, à la faveur des gains de productivité techniques et des victoires du standard et de l'ersatz sur le goût des nuances, nous laisse présager de cette domination durable de la consommation sur la production, pour le plus grand dommage de notre niche écologique.
La mutualité entre les agents, les personnages, les héros, les dieux, a lentement évolué au fil des siècles et nous ne savons pas ce qui, après la phase socialiste du procès historique faira suite aux figurants.
D'être au participe présent n'en fait jamais cependant des arrivistes enthousiastes, experts en luttes d'influence, pour éliminer des rivaux et se mettre dans le sillage des hommes qui montent.
Le figurant est au-delà de la comédie ou de la tragédie humaines. Il est contemporain du polyhumanisme c'est dire de la relativité einsteinienne appliquée à l'échelle des civilisations.
En lui-même la pluralité ethnique, d'où il provient selon la génétique des populations en exodes et en brassages, schizophrénise sa conscience de lui-même. Au moment qu'il se figure son lien à tel autre, cette figuration même se cristallise, de cette paradoxale façon que le réel pulsionnel, l'affect, de son empathie se dépathise et nous le dépayse.
Pascal 11 03 07 19"

lundi 7 mars 2011

RENTABILITE FATIGUE.000

Association Démocraties Nouvelles

Pascal ENARD est l'écrivain le plus "en avant" que je connaisse personnellement et surtout par ses écrits. Avec Daniel BIDENNE, ils constituent une association d'auteurs et d'édition nommée "Démocraties Nouvelles" (cf. http://www.democraties-nouvelles.org ; voir Ma Liste de Liens ci dessous à droite).
En naviguant sur leur site vous trouverez toutes les informations nécessaires pour assouvir votre soif de connaissance sur ces deux hommes de lettres et bien plus encore (catalogue de leur publication ; manifestations organisée par l'association ; liste de liens amis ...)

"Rentabilité Fatigue"

J'inaugure aujourd'hui une série de chroniques consacrées au dernier ouvrage de Pascal ENARD : "Rentabilité Fatigue" (ISBN 9782902887098).
Après s'être intéressé dans ses oeuvres précédentes, dans un ordre non chronologique mais qui pour moi fait sens, aux notions de "Figurants", de "Polyversel" puis à la "Fonction Communielle" et au "Polyhumanisme", Pascal ENARD nous offre avec "Rentabilité Fatigue" une nouvelle critique acérée du fait capitaliste : sa société, les figurants qu'elle engendre (à la manière des trois archétypes de l'absurdité de Camus dans "Le Mythe de Sisyphe") et je dirais les "Situations" qu'elle provoque.

"Comme un Roman"

Il faut lire Pascal ENARD comme on lirait un roman, un poème ; car avant tout il fait oeuvre d'homme de lettre. J'ai souvent été confronté à une lecture académique de son oeuvre par quelques universitaires de bonne volonté mais condescendants. Toute la puissance créatrice de Pascal ENARD s'en trouve anihilée et se fourvoit dans la critique même, qu'il décortique pourtant, de la "Rente Universitaire".

Il est vrai que, tant les références bibliographiques y sont nombreuses, le ton celui de l'essai, qu'il est tentant de succomber à une lecture pointilleuse et référencée des ouvrages de Pascal ENARD. C'est oublier au moins deux faits :
- tout d'abord les premiers ouvrages de Pascal ENARD sont des fictions ("En liant haut bas" ; "Les fosses miscottes"), certes déjà portées à l'analyse et l'autoanalyse, mais des fictions tout de même ;
- enfin Pascal ENARD revendique haut et fort le statut de créateur littéraire, d'écrivain et non celui de "penseur académique".

Lisez donc "Rentabilité Fatigue" comme un roman et non comme une pure spéculation intelectuelle ; soyez interpellés par ses analyses, laissez vous porter par la puissance évocatrice du "jargon" ... enfin identifiez vous au narrateur, aux "Figurants" ... Vous en prendrez pour votre grade mais vous y gagnerez ô combien en compréhension de l'être humain et social que vous êtes.

Le "Figurant" chez Pascal ENARD, c'est un peu comme "Rastignac" chez BALZAC : "La Comédie Humaine" se poursuit et Pascal ENARD la décortique.

"Rentabilité Fatigue" (bis)

J'inaugure aujourd'hui une série de chroniques consacrées au dernier ouvrage de Pascal ENARD : "Rentabilité Fatigue" (ISBN 9782902787098).
Ces chroniques seront interactives car j'ai laissé les pages de mon blog ouvertes à Pascal ENARD et dès la semaine prochaine je peux d'ores et déjà vous promettre une présentation par l'auteur de son ouvrage "Rentabilité Fatigue" après laquelle suivront des échos de mon cru.

Bienvenu à Pascal ENARD
sur les pages de " Comment je suis devenu écrivain"
(Mieux vaut tard que jamais!)

jeudi 3 mars 2011

Le Marché de la Poésie 2011 - Bordeaux

Du 15 au 20 mars Jean Paul BRUSSAC, la Librairie Olympique et l'Association Culturelle du Marché des Chartrons organise pour la 15ème année consécutive "Le Marché de la Poésie" 2011 de Bordeaux (voir programme dans la liste Lectures à droite).

A signaler tout particulièrement la soirée "Les Mots Erotiques" du jeudi 17 mars à 20h30 dans les locaux de la Librairie Olympique avec la présence exceptionnelle de Giovani DOTOLI (professeur de littérature ; voir liste des sites internet ci dessous à droite), de Rome DEGUERGUE (écrivain ; voir liste des blogs ci dessous à droite) et de votre humble serviteur.

A cette occasion sera présentée "L'Anthologie de Poésie Erotique Française du Moyen Age à nos Jours" (éditions HERMAN ; voir le lien Publications à droite), présentée et compilée par le professeur Giovani DOTOLI et dans laquelle Rome DEGUERGUE et moi même figurons au titre d'auteurs contemporains.


Cette soirée est organisée par Justine BARBE, étudiante et chargé de communication chez Cheyne éditeur.